
L'HISTOIRE : Lénina vit dans un monde futuriste dit "parfait" basé sur la stabilité, dans un monde où "chacun appartient à tous les autres" où "tout le monde est heureux maintenant" : ni les peines de c½ur ni l'amour passionnel, n'existent. Une contrariété ? Il y a le Soma pour ça. Un travail qui ne nous plaît pas ? Impossible, comme l'intelligence de chacun correspondra à son métier de manière à ce que celui-ci l'épanouisse. Peur de la mort ? Impossible, chacun est conditionné pour ne pas l'appréhender ... Lénina s'apprête à aller dans une réserve à Sauvage avec Bernard un Alpha un peu bizarre ... Et si leur voyage leur réservait des surprises ?
MON AVIS : Comme quoi les dystopies ça ne date pas d'hier : c'est un livre des années 30 qu'on se doit de lire si l'on aime la dystopie pour découvrir les premières ½uvres du genre. Cela peut aussi permettre de noter pas mal de ressemblances avec certaines dystopies actuelles. J'ai bien aimé le style de l'auteur même si je l'ai trouvé parfois un peu lent malgré tout. Les personnages, formatés, ne sont pas très attachants : il n'y a pas vraiment de prise de conscience et ils restent quasiment tout le temps dans la norme la plus stricte. Le Sauvage, qui ne s'intègre pas du tout à cette société là m'a paru plus sympathique. J'ai bien aimé le scénario et l'intrigue malgré pour moi l'absence de "chute" à la fin du livre.
MON AVIS : Comme quoi les dystopies ça ne date pas d'hier : c'est un livre des années 30 qu'on se doit de lire si l'on aime la dystopie pour découvrir les premières ½uvres du genre. Cela peut aussi permettre de noter pas mal de ressemblances avec certaines dystopies actuelles. J'ai bien aimé le style de l'auteur même si je l'ai trouvé parfois un peu lent malgré tout. Les personnages, formatés, ne sont pas très attachants : il n'y a pas vraiment de prise de conscience et ils restent quasiment tout le temps dans la norme la plus stricte. Le Sauvage, qui ne s'intègre pas du tout à cette société là m'a paru plus sympathique. J'ai bien aimé le scénario et l'intrigue malgré pour moi l'absence de "chute" à la fin du livre.